avril 26, 2021

Des nouvelles… Boulot, boulot, boulot !

Une fois arrivés à Orange, nous avons voulu chercher du boulot afin de remplir notre  monnaie mais aussi pouvoir prétendre à un second visa !

LE SECOND VISA

Nous avons la possibilité de rester une année supplémentaire si l’on répond à certaines conditions :

  • Les mêmes que celles du premier visa : être âgé de moins de 30 ans, avoir $5000 d’économies, payer les frais de dossier…
  • Avoir cumulé 88 jours de travail dans certaines zones du pays et certaines branches de travail : agriculture, pêche, mine…

Le travail à la ferme étant le plus répandu et demandant le moins de qualifications, nous avons décidé de chercher dans ce secteur.

On a chercher des informations au centre des visiteurs d’Orange qui nous a donné une adresse e-mail à contacter pour du packing.

PACKING

Le packing consiste au conditionnement et la mise en boîte des fruits récoltés.

Aussitôt le mail envoyé, aussitôt une réponse ! Ils cherchent du monde, et nous devons nous présenter le lundi qui suit dans une ferme à 20 minutes d’Orange pour le packing de cerises ! Les conditions sont idéales : payés à l’heure, 8h par jour de début novembre à mi janvier.

Nous sommes aujourd’hui le 27 novembre et n’avons fait que 9h de packing en 27 jours, loin de ce qu’on espérait…! D’après eux, il n’y a pas suffisamment de cerise pour faire travailler tout le monde, tout le temps…

Heureusement, on avait « prévu » le coup en voyant les cerises encore vertes sur les arbres et nous avions déjà chercher d’autres boulots en attendant.

LE TRAVAIL DANS LES VIGNES

Et nous sommes tombés chez Claire, une dame qui s’occupe généralement à elle toute seule de ses 13 hectares de vignes. Ce jour là, elle avait besoin d’aide car 2 personnes avaient commencés un boulot mais… Il n’était pas bien fait. Pendant 2 jours nous avons fait un « wire job » : retirer les fils des poteaux autour des vignes où nous étions payés à l’heure.

 

Un travail peu fatiguant mais le soleil était au rendez-vous ! Nous l’avons réalisé armés de chapeaux, crème solaire et bouteilles d’eau.

Elle nous propose d’autres jours de boulot où nous serons payés au rendement cette fois ci :

Nous devions faire apparaître le « V » de la vigne ainsi que désherber le pied. Nous étions payés 10 cts le pied et on ne gagnait pas vraiment nos journées…

Avec la chaleur qui arrivait tôt, on avait décidé de se lever à 5h pour commencer le boulot à 6h et profiter des fraîcheurs matinales mais on a abandonné au bout de 3 jours quand on se rendait compte que ce n’était vraiment pas rentable !